Dans le harcèlement, il y a toujours quelqu'un qui se croit « grand ». Où plutôt qui veut montrer une grandeur qu'il est souvent le seul à constater.

Alors il trouve en face, un « petit ». Qui ne sera pas forcement plus petit que lui, loin de là.

Mais c'est ainsi que fonctionne le harcèlement ; inexorablement, incontestablement.

Parce que lorsqu'on est réellement un grand ; on vient en aide aux autres, on ne tente pas de les écraser d'une pseudo supériorité.

Là où ça joue encore plus, c'est lorsqu'il y a une supériorité hiérarchique qui ne révèle absolument pas une supériorité réelle du monde du travail. Un supérieur particulièrement incompétent, qui n'aura d'autre recours que de harceler un subalterne qui professionnellement a beaucoup plus de compétence que lui. C'est très Shakespearien et ça mène à des duels personnels bien connus dans le harcèlement. Avec pour l'un une épée de fer, et pour l'autre une épée de papier !

Certaines collectivités apprécient particulièrement les « grands » minables, n'apportant aucune aide aux « petits » compétents.

Parce que, encore faudrait-il avoir des C******* pour s'opposer à un très grand , très minable !  

QUELQUN

Après une lutte importante du Collectif de soutien de Trémentines, envers la directrice malmenée, humiliée, et traînée dans une boue publique, de façon inqualifiable, le responsable de l'association et la directrice seront dorénavant les représentants régionaux de  SOS FONCTIONNAIRES VICTIMES  http://sos-fonctionnaire-victime.com/ 

http://www.collectif-trementines.com/wp-content/uploads/2013/11/conf-25-avril.pdf

49 Visites en Avril

Le burn-out : plusieurs articles à ce propos, bien des sites d'informations qui expliquent, en parle. 

http://www.francetvinfo.fr/sante/psycho/burn-out/burn-out-les-mutations-au-travail-n-ont-pas-ete-encadrees-au-niveau-politique_573023.html

http://www.francetvinfo.fr/sante/burn-out-les-douze-signes-qui-doivent-vous-alerter_572561.html

LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL ! Une appellation malheureusement très courant maintenant. Tellement courante, que après des années dans l'ignorance de ce terme, on en arrive maintenant à en être presque blasé, tellement les dénonciations de cette souffrance au travail dérangent. Mais ceux qui ne l'ont pas vécu ont de fortes raisons de ne pas le comprendre.

Et puis, il y a ceux qui l'ont malheureusement subit ; ceux qui connaissent un ami, un parent, qui s'est retrouvé en pleine tourmente professionnelle à cause de souffrance au travail. Tout juste arrivent-ils à comprendre le mal-être de leur ami ou de leur collègue. Simplement parce qu'ils n'arrivent pas à réaliser qu'on puisse être malade par son travail. Mais ce qu'ils ne réalisent pas, c'est que ce n'est pas le travail qui rend malade ; mais ce qu'on y subit.

On ne se rend pas malade ; c'est quelqu'un d'autre qui vous rend malade, au sein même de votre travail.

Très souvent les autres veulent « aider » ; mais avant de donner quelques conseils, encore faut-il bien prendre conscience de de qu'est réellement la souffrance d'autrui. Il faut comprendre avant de venir aider.

Comprendre ce qui peut mener quelqu'un à se déprécier lui-même, à se retrouver dans un stress permanent dont il ne peut plus sortir.

La souffrance au travail est telle dans notre monde professionnel qu'elle passerait presque inaperçue si certains ne luttaient pas pour la faire reconnaître au grand jour.

Il aura fallu des années pour que des personnes fassent évoluer les simples conditions de travail, au temps où on faisait travailler les gens à outrance, sans règles ni limites. Il faudra attendre encore longtemps pour que soit clairement reconnus que certains abus persistent et durent, malgré le fait que des alertes soient régulièrement dénoncées.

Mais il reste à chacun de pouvoir comprendre que cette souffrance au travail est bien réelle et qu'elle n'arrive pas que chez les autres. Il reste à chacun de participer au fait que ça puisse cesser un jour.  

QUELQUN

Partout on parle de la souffrance au travail , partout on crie au mal-être des agents dans certaines fonctions publiques. Des suicides, des tentatives de suicide ; des dépressions à fusion. Mais que fait le ministre de la fonction publique territoriale ?

Comme nous ne changeons pas de ministre avec ce nouveau gouvernement, il y a fort à penser que rien de plus ne sera fait pour les gens en souffrance. Ça se passe sans doute de commentaires, et pourtant il y en aurait tant à  faire !  

QUELQUN

Une petite vidéo à regarder absolument. Simple et tellement explicative ! 

http://cma-legal.com/harcelement-moral-dans-la-fonction-publique-le-film/?fb_action_ids=10203439501737870&fb_action_types=og.likes

 80 Visites en Mars

Le deuxième tour est passé, les résultats sont là : 

G.BOURDOULEIX : 11 530 soit 55.49 %

J.M VACHER :           9 248 soit 44.50 %

Abstention :  40.88 %

La lutte restera dure ; mais en même temps, les choletais viennent de montrer à quel point la dictature de leur maire, la dette de leur ville et les avantages outranciers qui sont liés à tout  ça, n'a aucune importance réelle. 

 QUELQUN

Le premier tour de élections municipales est passé ; les chiffres sont là : 

Bourdouleix :  10 093 soit 46.86 %

Vacher :           4 764 soit  22.12 %

Renaudet :        3 525 soit 16.41 %

Loiseau :          2 340 soit 10.87 %

Cerisier :             805 soit 3.74 % 

Absenteïsme à 39.51 % 

Avec l'approche des élections municipales, beaucoup de personnes étaient dans l'attente. Attente de changement ou espoir de continuité.

Où je travaille, beaucoup sont aussi dans cette attente. Tout simplement parce que notre Maire est aussi notre employeur. Et que bien des employés attendent avec impatience un changement.

Lorsque les abus de pouvoir sont tels qu'ils en sont absolument dérangeants et condamnables pour des employés qui espèrent encore un univers professionnel où la valeur est plus importante que le cirage de pompes ou même le copinage ; où certaines personnes de l'équipe municipale (voir le dirigeant lui-même)  n'hésitent absolument pas à salir publiquement des employés qui déplaisent ; ou ferment les yeux sur des chefs de service harcelleurs ; c'est toute l'équipe municipale qui est pointée du doigt ; et c'est toute une ville qui devient populaire pour ses frasques plutôt que pour ses qualités.

On comprend mieux à quel point les élections sont attendues et les changements espérés. Même si l'expression populaire se veut « On sait ce qu'on perd et on ne sais pas pas ce qu'on trouve», il arrive un moment où quoi qu'on puisse retrouver, on veut surtout perdre ce qui met mal à l'aise.

Il y a encore peu, un slogan retentissait « Le changement, c'est maintenant  !» Sans aucune notation politique, je reprendrai volontiers cette phrase ; simplement parce qu'il est grand temps, qu'à Cholet, le changement soit véritable.  Malheureusement, la dictature fait toujours des adeptes ; et très souvent, les gens ne comprennent pas les enjeux à laisser en place une personne qui lors d'élections municipales ne voit là que le maintient de sa position d'empereur ! 

QUELQUN