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Le Blog de Quelqun

10 novembre 2014

La vérité

Comme beaucoup, je me sens concerné par ce que subit la directrice de la maison de retraite de Trémentines. Un fait divers sordide, qui met publiquement à mal une employée par sa direction. N'hésitant pas à avoir recours au harcèlement à des fins personnelles. 

Depuis le début de cette affaire, nombreux sont ceux qui y croient en une justice qui verrait enfin le jour. Sans tricherie (nous nous souvenons des faux courriers) ni mensonges (nous nous souvenons des fausses accusations) sans support médiatique visant à détruire une employée (nous nous souvenons des écrits sur les sites de la ville et de la CAC). Beaucoup espéraient que Justice serait faite comme elle doit l'être, avec impartialité.

Je fais partie de ces personnes qui ne connaît aucunes des parties, sinon de nom et de réputation. Et qui ne se fait une opinion  que selon ce que j'ai lu et vu dans les journaux. Et je me disais que nous assistions, malheureusement, à  la lutte du pot de fer contre le pot de terre. 

Qu'une simple employée résiste ainsi à de la maltraitance évidente de son employeur, avec tant de personnes qui la soutienne, est remarquable. Et qu'après les révélations du système qui relève de la fonction publique et que nous n'imaginions même pas (les procédures de conseils de discipline)  qui condamneront obligatoirement un employé puisque les membres du dit conseil de discipline sont les employeurs.

Voir la vérité éclater au grand jour, serait de l'ordre du miracle. Il semblerait que la justice existe encore quelque part. Je suis personnellement content de la décision rendue le 6 Novembre,  qui donne l'espoir  que la vérité triomphe. Mais à quel prix ? La directrice en paye les frais, tant financiers que moraux. C'est là la croix à porter pour que la vérité soit reconnue.

QUELQUN

 

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15 juillet 2014

La honte

Je suis terriblement peiné de l'issue de toute cette affaire. Peinée de voir que la lutte éternelle du pot de fer contre le pot de terre ne changera jamais. Et qu'il est évidant qu'une certaine position donne tous les droits, y compris celui de détruire la vie des autres par simple esprit de vengeance.

Peiné de voir que les rancœurs personnelles mènent toujours à de grandes guerres incompréhensibles. Peiné de constater à quel point il est véritablement très suicidaire d'entrer dans la fonction publique en ayant de la personnalité.

Le triste réputation dont jouissent malgré eux les fonctionnaires est bien démontrée. N'être que le mouton qui suit bien le troupeau. Et pour évoluer le plus longtemps possible, rester tranquille dans un coin, en n'en faisant le moins et surtout en obéissant aveuglément. au berger. Car même s'il n'y a pas de loup, il bouffera lui-même les moutons qui ne lui plairont pas.

Je suis peiné de voir qu'une personne intègre, travailleuse, professionnelle comme Ghislaine Duret ait été ainsi maltraitée ouvertement et aux yeux de toute la population choletaise, et aux yeux des nombreux employés de la collectivité, alors que des fait tellement plus graves et importants ont été passés volontairement sous silence et sans aucune sanction.

Je suis déçu qu'une fois de plus, il n'y ait pas de vraie justice. Je suis déçu que le harcellement flagrant envers cette employée reste impuni.

Lorsque internet diffuse des vidéos de jeunes gens qui se font « tabasser » par tout un groupe ; chacun crie au scandale, et veut défendre cette victime. Tous les Choletais ont été témoins de cette sauvagerie mentale tout aussi violente que si elle avait été physique. Et qui a réagit ? Qui aurait soutenu cette femme qui après plus de 35 ans de travail auprès des personnes âgées, avec un savoir être et un savoir faire irréprochable s'est vue traînée dans la boue par son employeur parce qu'elle n'était pas le mouton qu'il voulait qu'elle soit !

J'ai honte de ce triste constat. 

QUELQUN

 

 

7 juillet 2014

Absent

abs

30 juin 2014

Lutte pour la paix

Lorsque vous vous retrouvez dans une guerre, sans que ce soit de votre fait, vous n'avez qu'une chose en tête, c'est d'aller vers la paix. 

etendard

Mais lorsqu'en face de vous, on jubile dans cette guerre, et que malgré les efforts de paix que vous déployez, on tient haut et fort l'étandard de la guerre, il ne vous reste qu'une solution : Poursuivre la lutte pour que la vérité éclate. Poursuivre la lutte pour que la paix voit le jour. 

 

Quelqun

23 juin 2014

L'impact de la blessure

J'ai vécu des choses terribles. Des accusations dans mon travail.

Chaque fois ces accusations étaient portées par mon directeur.

Chaque fois j'ai dû déployer une énergie immense afin de démontrer à quel point ce n'était que mensonges et affabulations.

La première fois, le ciel m'est tombé sur la tête !

Je sentais bien que quelque chose n'allait pas. Mon directeur me soupçonnait mais ne me parlait de rien. On me retirait des responsabilités, des accès à certains lieux de l'entreprise.

Pas d'explications, mais je me sentais sous surveillance permanente de mon directeur et de certains collègues.

Un des employés un jour est venu me parler. « discrètement » comme on dit. A demi-mot, en chuchotant presque. Là, j'ai appris qu'on me soupçonnait de voler. Mais de voler quoi ? Et bien, tout et rien en fait. Des « choses » disparaissaient, et « on » pensait que c'était moi la responsable de ces disparitions.

Mon directeur, avait tiré cette conclusion, parce que « ça » coïncidait, « ça » collait avec les dates ; et plein de choses dont il était tellement certain que « ça » ne pouvait être que moi.

L'entretien que je lui ai demandé a été aussi faux que les accusations portées derrière moi.

« Jamais il n'avait émis le moindre doute sur moi ! » ; « Ces vols n'étaient pas clairement établis ! »

Seulement, malgré ce son de cloche, je vivait un enfer personnel énorme. Parce que je savais bien qu'il n'en était rien. Je sentais le regard des autres, la pression en moi était là et oppressante.

Cela a duré des mois. Où j'ai sombré dans une dépression immense. Allant d'arrêt maladie en stress constant lorsque j'étais au travail.

Et puis, un jour ; le coup de massue ! Un vol énorme de matériel informatique. Là, je me dis qu'on va enfin réaliser que je ne suis pour rien dans quoi que ce soit.

Mais me voici convoquée au commissariat. A plusieurs reprises ; et je me rends bien compte que je suis directement accusé de vol de ce matériel informatique. Parce que seul le directeur et moi avions la clé de la salle informatique. Et surtout, je suis mise en cause par un collègue qui m'avait vu le jour du vol dans les locaux.

Je me suis retrouvée en plein cauchemar !

Heureusement, l'enquête a été sérieuse et bien menée. Mais il a fallu des mois pour moi, de peine et de douleurs d'être mise en accusation.

Par bonheur, la femme de ce collègue est venue le dénoncer. Il avait réussi à substituer la clé et voler le matériel pour le revendre.

Qu'en aurait-il été si cette femme n'était pas intervenue ? Qu'en aurai-il été de moi ?

10 ans que cette histoire est arrivée. J'ai quitté mon travail, mais ne me suis jamais remise de ça.

Je ne me suis jamais remise des accusations portées contre moi, et je ne me suis jamais remise de la dépression dans laquelle tout ça m'a plongée.

mental2

Parce que, même « lavée » de tout soupçon, la blessure reste présente tellement elle a été profonde.  

 

QUELQUN

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16 juin 2014

Dictature

Depuis toujours l'homme aime à détruire les autres. Certaines guerres sont parties sur pas grand chose, pour se terminer dans des bains de sang. 

Et pour des affaires plus personnelles, le discrédit dont on fait preuve reste une arme bien courrue. Lorqu'on veut que son univers soit rouge, on ne tolère pas la moindre boule bleue. Et tous les moyens sont mis en place afin de la rayer de cet univers qu'on veut unique et totalitaire. 

hors-norme

C'est ainsi que fonctionne la dictature depuis la nuit des temps. 

QUELQUN

9 juin 2014

Le pot de terre /le pot de fer

Je ne connais pas Mme Duret, autrement que ce qui est paru dans la presse. Je ne connais pas le maire de Cholet autrement que de ce qui paraît sur lui dans la presse. Mais je suis interpellé par la situation de la directrice de la maison de retraite, qui est tout de même assez perturbante, lorsqu'on lit tout ce qui s'est passé depuis le début.

Un maire qui fait tant et tant de reproches à une directrice d'établissement, qu'il fait passer pour un véritable monstre. Une directrice qui se défend de façon légale et très coûteuse pour elle. Alors que selon la loi, le maire qui croule sous des revenus plus que substantiels, ne déboursera pas un denier, puisque c'est la collectivité, (donc les habitants de Cholet) qui devrait en toute logique régler les frais d'avocats, car l'employée de la fonction public se défend face à son employeur de la fonction public.

POTS

Comme le titre les journaux, "le pot de terre" aux moyens financiers limités, face "au pot de fer" aux moyens illimités car ce seront les contribuables qui se verrons contribuer malgré eux à l'énorme facture. Puisque tout de même, plusieurs employés ont fait des recours aux tribunaux contre cet employeurs aux méthodes plus que discutables.

C'est déjà là, un point que je trouve particulièrement dérangeant. Surtout qu'à coup de sanctions disciplinaires, il apparaît clairement que Mme Duret se retrouve amputées financièrement de sommes non négligeables sur son salaire.

Et lorsqu'on regarde bien ce qui résulte de tout ça, c'est que Mme Duret a gain de cause dans sa défense. Que même le tribunal administratif lui donne raison sur ses référés.

C'est assez surprenant tout se même. Et ça prouve bien que tout compte fait on veut tout simplement « sa peau » ; rien d'autre. Et qu'en mettant ainsi tout en œuvre afin de l'affaiblir financièrement et mentalement, on espère juste qu'elle finisse par céder.

Tant de mensonges, que le tribunal administratif vient de démontrer, devrait être puni sévèrement. Tant de preuves de harcellement à l'encontre d'une employée, démontrées aussi par le tribunal administratif; devraient avoir des conséquences directes pour la collectivité.

 

Il y a tout de même quelque chose qui me surprend. Je ne suis pas de Cholet, mais comment se fait-il que les citoyens de cette ville, acceptent autant de maltraitance de la part de leur maire ? Et comment se fait-il qu'ils restent aussi impassibles sur ce que ça leur coûte financièrement ? Et sur toutes les magouilles dont parle la presse, qui sont réellement maintenant prouvées ?  

 

http://www.collectif-trementines.com/wp-content/uploads/2013/09/CO-et-OF-29-mai.pdf

 

QUELQUN 

2 juin 2014

Chiffre du blog

statistique

 

51 Visites en Mai 

26 mai 2014

Victime

C'est quoi être victime ?

« Une victime est une personne ou une entité qui subit un dommage, un abus, ou un préjudice moral . Elle subit les mauvais traitements, les injustices  d'autrui ou subit les conséquences d'un accident , d'une catastrophe, d'un cataclysme .

Les dommages subis par la victime peuvent être de diverses natures : physique, corporel, psychique, morale, sociale, ou économique. Des démarches logistiques, médicales, juridiques, sociales ou psychologiques (seules ou combinées) sont nécessaires pour revenir à une forme de vie normale. Quoique les individus disposent d'une capacité de se remettre en route appelée parfois résilience , un appui de tiers ou l'appartenance à un communauté un tant soit peu compatissante sont des facteurs facilitant le rétablissement de la victime. Le premier accueil qu'une victime reçoit peut être déterminant pour la bonne évolution du rétablissement spontané de son intégrité et de son autonomie. »

harcelement_VICTIME



Mais lorsqu'il s'agit de maltraitance morale de la part de son employeur, tout prend une dimension énorme et sur une très longue durée.

Laisser un supérieur hiérarchique accuser à outrance des employés, c'est être tout autant responsable de cette maltraitance ; c'est être partie prenante dans le harcèlement qui s'en suit.

Que dire d'un supérieur hiérarchique qui rédige à fusion des rapports sur ses employés ? Constate des « problèmes » dont il n'apporte pourtant aucune solution, alors même que ce serait son rôle, pour ne faire suivre que de nombreux rapports sur ses subalternes ?

A quel moment, la haute autorité réagira-t-elle afin que cesse les activités , d'un supérieur particulièrement incompétent, qui tout compte fait ne fait rien d'autre que des victimes ?

Et qui sera réellement responsable de ces tourmentes ? Celui qui fait ? Ou ceux qui laissent faire ?  

19 mai 2014

Le harcèlement moral

Quelques conseils. 

 

http://www.youtube.com/watch?v=wAPcFSaUzW8

QUELQUN

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